
Personne ne connaît vraiment la Bête, et la Bête ne sait rien du monde. A travers ses aventures et ses rencontres, au détour de dialogues oscillant de l’absurde au métaphysique, nous commençons à nous attacher à cette Bête, humaine et sauvage.
L’humour de ce texte chinois m’a séduite immédiatement, comme je le raconte dans cette petite interview.
A lire aussi, le point de vue de l’auteure, sur le blog de notre éditeur.
On parle de la Bête ici et sur France Culture, et aussi là et sur Ricochet.
Texte de Pei-Chun Shih, traduit du chinois par Chun-Liang Yeh
mars 2011, éditions HongFei Cultures.
On en parle encore par ici, ou sur ce blog ou encore là, mais aussi là.
Bref, la Bête n’a pas fini de faire parler d’elle.


